D’après le baromètre 2021 de l’association Qualitel, 75% des Français souhaitent habiter une maison ou un appartement « durable », respectueux de l’environnement, préservant la qualité de vie et le bien-être de ses occupants.
En octobre dernier, l’association indépendante Qualitel a publié son baromètre annuel consacré à la qualité du logement. Le logement durable était à l’honneur pour l’année 2021. Un constat : les Français ont à cœur d’habiter un logement qui préserve la planète. C’est pourquoi les promoteurs immobiliers doivent s’adapter à ces attentes et proposer des habitats éco-responsables. Un travail déjà entrepris par certains grands groupes du secteur, comme celui de Patrice Pichet.
Selon ce baromètre Qualitel-Ipsos, réalisé en partenariat avec l’Agence nationale de l’habitat (Anah), 75 % des Français aspirent à vivre dans une maison ou un appartement durable plus respectueux de l’environnement, préservant la qualité de vie et le bien-être de ses occupants, où les coûts de construction et d’usage sont maîtrisés. Pourtant, seuls 30% estiment vivre actuellement dans un logement qui respecte ces critères.
Pour habiter plus durable, une majorité des sondés (59%) se dit prête à réaliser des travaux de rénovation pour transformer leur logement. Les jeunes semblent encore plus engagés avec deux tiers des 35-60 ans motivés pour faire des travaux. La moitié des 18-34 ans serait même disposée à payer un peu plus cher pour un logement durable (contre 31% des plus de 60 ans).
Se revendiquant promoteur responsable et citoyen, le groupe immobilier Pichet s’accorde avec les Français en s’engageant pour le développement durable. Afin d’être attentifs à l’impact de leurs réalisations sur l’environnement, Patrice Pichet et ses collaborateurs livrent des bâtiments certifiés (NF Habitat HQE / RT 2012 – 20% / biodiversity) et écoresponsables. La majorité des projets d’aménagement du groupe s’inscrivent ainsi dans une démarche environnementale exigeante privilégiant le bas carbone, les matériaux biosourcés, ou encore une gestion énergétique optimale.
Sur ce dernier point, Patrice Pichet rejoint une nouvelle fois la tendance. En effet, le logement durable est, aux yeux des Français, avant tout assimilé aux économies d’énergie. Signe que les politiques publiques en la matière ont porté leurs fruits, comme la RE2020. D’autres éléments, tels la préservation de la biodiversité ou l’accès aux transports, sont jugés plus secondaires. Notons que seuls 17% des Français considèrent que la proximité des infrastructures (transport en commun, écoles, travail commerces…) est un critère indispensable au logement durable. Un chiffre faible « alors même que les transports, a fortiori individuels, sont le premier d’émissions de gaz à effet de serre », souligne l’étude.
Le bac de tri sélectif arrive en tête des équipements jugés indispensables au logement durable (pour 41% des sondés). La pompe à chaleur ou la présence d’un panneau solaire/éolienne sont loin derrière (14% et 17%). Le solaire et l’éolien contribuent pourtant tout autant à la préservation de l’environnement. « Ces quelques décalages de perceptions plaident pour plus de pédagogie autour de l’ensemble des actions qui rendent un logement réellement durable », précise Qualitel dans un communiqué.
Le baromètre a aussi évalué les bénéfices d’un logement durable par rapport à un logement non durable. La note de qualité globale (indice Qualiscore) du premier est de 7,9/10, contre 5,6/10 pour le second. En détail, 82% des occupants de logements durables considèrent ce type d’habitat comme plus avantageux sur le plan économique (contre 54% dans le non durable). Le logement durable procure même un sentiment de fierté pour 96% des sondés y vivant. Aussi, les logements qui répondent à des exigences environnementales poussées sont jugés plus confortables, notamment au niveau du confort thermique.